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LE CINEMA MILITANT DE CHRIS MARKER
« Vote le plus rouge que tu pourras,
ça a toujours le temps de pâlir »
Chris Marker.
1967 : A bientôt j'espère
1967 : Loin du Vietnam
1968 : La Sixième face du Pentagone
1968 : Classe de lutte
1969 : Jour de tournage
1969 : On vous parle du Brésil : tortures
1970 : La Bataille des dix millions
1970 : On vous parle de Paris : les mots ont un sens - François Maspero
1970 : L'aveu de Costa Gavras
1970 : L'Afrique express de Danièle Tessier et Jacques Lang
1971 : On vous parle de Prague : le deuxième procès d'Arthur London
1971 : Le train en marche
1971 : Le Bonheur
1972 : Vive la baleine
1973 : L'Ambassade
1973 : Puisqu'on vous dit que c'est possible
1973 : Kashima Paradise de Yann Le Masson et Bernie Deswarte
1974 : La Solitude du chanteur de fond
1975 : La Spirale d'Armand Mattelard, Jacqueline Meppiel et Valérie Mayoux
1975-1979 : La Bataille du Chili de Patricio Guzman
1977 : Le Fond de l'air est rouge
1978 : Le Recours de la méthode - Viva el presidente de Miguel Littin
1979 : Le Labyrinthe d'herbes de Shuji Terayama


Ecriteau apparut dans le film "A bientôt, j'espère", considéré comme l'un de ses premiers films militants.
Image, également, apparue dans "A bientôt, j'espère".
Le cinéma militant
Les documentaires issus de ses voyages dans les années 1950 et 1960 reflètent une profonde sympathie envers les tentatives d'implanter des régimes politiques socialistes dans différentes parties du monde. La montée de la contestation politique à la fin des années 1960 (dont Mai 68) constitue pour Chris Marker l'occasion d'approfondir son engagement politique et de réfléchir de la place du cinéma dans le système de production et de distribution capitaliste, ainsi que sur son rôle idéologique.
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